Luxe versus prolo, le match

Pour celles qui ne veulent pas entendre parler de mes dessous de bras, vous pouvez quitter maintenant.

N’importe qui parle beauté, de nos jours! 🙂 Alors j’y vais aussi, pour un petit coup de gueule. Je vais profiter de cette case de liberté d’expression, pour RALER BIEN FORT.

ME SUIS FAITE ENTUBER. Le terme parait adapté, au vu de la forme cylindrique de l’objet.

Entuber par une marque de luxe.

Je vous plante le contexte:

Noël, période des cadeaux. Me balade dans les parfumeries, pour en faire, des cadeaux. C’est alors qu’une petite envie de cadeau surgit…pour moi. Mince, c’était pas sur le plan, l’agenda pas programmé, le budget pas crédité, alors… ruse de Siouxe à l’odorat frustré, je décidai de m’en faire juste un tout petit, de cadeau: un déo qui sent bon.

Janvier, tel un soufflé, l’euphorie retombe. Fraiche et pimpante, je me pschitte de luxe le matin. A 10h j’ai les aisselles moites . A midi j’ambiance « polyester faisandé ».

Ce déo n’est pas un déo.

Je suis retournée, penaude, dans les rayons du supermarché, acheter un vrai produit anti-transpi.

Mirages scintillants du glamour, vous ne m’y reprendrez plus!